En pleine lecture d'Éloge du bug de Marcello Vitali-Rosati @monterosato, je m'attarde sur le passage consacré aux outils inutiles.
Parmi eux, des gestes artistiques, des détournements militants, mais aussi des outils tombés en désuétude, des expérimentations qui n'ont pas marché.
Un des exemples développé est la Sonorine, carte postale sonore lancée au début du XXe siècle. L'outil et une affiche promotionnelle avaient retenu mon attention au Phonomuseum de Paris il y a de cela quelques mois.
Je me dis d'ailleurs que c'est un terrain d'expérimentation privilégié du steampunk, dieselpunk etc. d'aller revisiter ces outils... et surtout leurs visions du monde associées.
(L'académicien choqué m'amuse beaucoup )