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Captivée (bof) par un film de Noel made in Netflix, je déplore grandement l'existence de la chirurgie esthétique. Je comprendrais bien mieux certaines émotions si les actrices de plus de 30 ans pouvaient bouger leurs sourcils et leur lèvre supérieure.
Et la perruque de l'actrice principale est d'une qualité contestable.
(On ne parlera pas de la coiffure terrifiante de son love interest car il compense avec des abdominaux d'excellente facture et c'est un film sur un show de strip tease, alors on regarde pas trop sa tête, ça va. )
Mais il danse raide comme un piquet, le seul qui sait bouger son corps de manière suggestive, c'est la caution gay du film.
(La caution noire s'est tordue la cheville, remplacée par un papy décomplexé dont je veux bien que le six pack soit greffé accidentellement sur #dirfi. )