« L'histoire émancipe » avec Mathilde Larrère, dont le présentateur dit « elle écrit beaucoup sur Twitter, parfois 25 tweets de suite » #fêteHuma
Mathilde Larrère note que l'histoire des luttes, c'est aussi des micro-luttes peu spectaculaires. Elle cite l'exemple d'ouvrières qui mettent des affiches anti-chef dans les vestiaires de la boite. Envoyer un pouète, ça marche aussi ? #fêteHuma
Mathilde Larrère note que faire une histoire populaire nécessite de se poser la question des sources. Les sources les plus connues ne parlent que des gens d'en haut. Il faut aller chercher ailleurs. Exemple : au 19e siècle, les interrogatoires de police sont une des sources de la parole populaire. #fêteHuma
« Quand je mets dans mon CV que je fais plein de tweets, on me dit que ce n'est pas du vrai travail. » #recherche #vulgarisation #fêteHuma
« La vulgarisation, en histoire, c'est un sport de combat high-level. » (Mathilde Larrère à la #fêteHuma)
« Il ne faut pas remplacer le roman national, de droite, par un roman partisan de gauche. On peut aliéner avec Louise Michel et émanciper avec Jeanne d'Arc. » (Mathilde Larrère à la #fêteHuma)
Certainement le talk à cette fête où Twitter est le plus souvent mentionné.
Ah, j'apprends qu'un tribunal belge a admis une fois la licence CC-NC et condamné celui qui avait vendu une œuvre sous cette licence. #fêteHuma
Lionel Maurel introduit le débat sur l'agnosticisme économique du libre. Faut-il laisser une grosse boite capitaliste utiliser le libre. Oui (Richard Stallman) ou non (Telekommunisten, licence PPL) ? #fêteHuma
Risque : que le libre devienne un « commun du capital », partagé, mais entre boites capitalistes. #fêteHuma
@bortzmeyer cette question m'intéresse beaucoup ! Qui sont les intervenants ?
@nooe @bortzmeyer @pyg Merci, je regarde dans cette direction !
@veevax
@bortzmeyer
C'était très court, juste une question posée par @pyg