Constat d'échec : Après les attentats, on était nombreux·euses à "être Charlie", même certain·ne·s comme moi qui n'aimaient pas le tournant éditorial qu'avait effectué la rédaction depuis Val à sa tête.
La société française aurait dû accompagner cette rédac pour qu'elle ne sombre pas dans la haine xénophobe, poussée par les terroristes qui l'ont attaquée et ont tué des journalistes et des dessinateurs en son sein.
Et non, les attentats contre le journal ne lui permettent pas d'être xénophobe.