Dans la liste des indices à récupérer figure en bonne place le prélèvement d’un échantillon d’eau du ruisseau…
Les scellés sont acheminés à l’Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN) de Pontoise, dans le Val-d’Oise. Une autopsie est pratiquée à l’Institut médico-légal de Lyon. Ses conclusions sont rendues publiques le mercredi. Victorine Dartois est morte d’une noyade avec intervention d’un tiers.
Une certitude acquise « en raison de multiples ecchymoses retrouvées sur le corps de la victime », précise Boris Duffau, procureur adjoint de Grenoble.