Sensible au point que le rapport et sa couverture médiatique ont forcé le porte-parole du ministère indien des Affaires étrangères, Anurag Srivastava (sans lien avec le Srivastava Group), à réagir. Le 11 décembre, il affirme qu’« en tant que démocratie responsable l’Inde ne pratique pas de campagnes de désinformation ».
Une prise de parole qui vient après l’offensive du Pakistan, qui n’a pas hésité à sauter sur le dossier pour alimenter sa propre propagande anti-indienne.
Et elle ne se prive pas non plus de partager à ses 821 000 abonnés sur Twitter des démonstrations fumeuses censées appuyer cette hypothèse.
C’est peu ou prou la même théorie qu’avance la lobbyiste Madi Sharma – qui se présente également comme journaliste.
Dans un échange de mails...
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