« Cette histoire environnementale coloniale de l’Afrique du Nord a constitué une forme d’« éco-gouvernementalité » ; en qualifiant les pratiques indigènes de gestion du territoire de destructrices et d’aberrantes, elle était censée justifier l’intervention d’« experts » coloniaux, munis d’outils et de savoirs spécialisés »
https://journals.openedition.org/traces/5474
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