Je sieste en renouant avec Emil Ferris. Pour parler de sa relation à la création, l’autrice évoque le transsexuel flamboyant de Little Big Man. Parce qu’il entretient un rapport au monde que le reste de la tribu ne connaît pas, il est une richesse. Embrasser la différence c'est tellement plus beau que percevoir l'autre comme un barbare, venu tout détruire. Bon, je vais m’enquérir du tome 2.
Emil Ferris, Moi ce que j’aime c’est les monstres, roman graphique édité par Mr Toussaint Laverture