la juridiction a estimé samedi dans son ordonnance que cette ouverture dominicale des commerces risquait «d'augmenter de fait les jours de circulation et donc de contamination par le virus, alors même que la période officielle des soldes ne commence que le 20 janvier».
En l'autorisant, «le préfet du Puy-de-Dôme a porté une atteinte grave et manifestement illégale au droit à la vie, au droit au repos des salariés et à la protection sanitaire de la population», souligne l'ordonnance du tribunal